TRAFIC CÉLESTE

création novembre 2027

tout public, à partir de 14 ans

Ce grand récit, je souhaite le porter au plateau avec un collectif d’auteur·ices et avec des jeunes gens issus d’écoles de théâtre, comme des figures de résistance poétique et politique.

Au début, c’est la contemplation du ciel étoilé un soir d’été dans les montagnes.
Les yeux qui captent des mouvements.
« Trafic céleste », je murmure.
Et je voyage avec ces mots. Qui disparaissent un temps.
Et réapparaissent lors d’une tournée en Lozère.

« Ça bouge beaucoup là-haut » me dit un lozérien, l’œil ravi.
J’entends parler d’autres endroits comme cela dans le monde.
Le désert d’Atacama, au Chili, avec la recherche d’ossements sous la dictature de Pinochet.
Ce sont ces endroits qui seront le point de départ d’écriture de Trafic céleste.

J’en cherche d’autres encore.
Nourri d’autres récits et d’autres langues.
Du ciel à la terre.
De l’intime au politique.
Du réseau mondial de ces endroits si particuliers
D’autres pour écrire un récit stellaire, de ces différents endroits du monde, où chacun voit la voute céleste de son endroit : est qu’on voit la même chose ? qu’en est-il des mythologies cosmiques de chacun de ces endroits planétaires ? que recèle chaque point noir sur terre ? et, existe-t-il quelque chose qui relie ce grand tout ?