création 2010
tout public, à partir de 8 ans
durée : 1h
Après Bottes de prince et bigoudis, spectacle librement adapté de Blanche Neige, Annabelle Sergent prolonge son travail autour des « grands contes qui ont nourri notre enfance » en nous entraînant sur les traces du fameux Petit Poucet.
P.P. les p’tits cailloux questionne la notion de fratrie, de place choisie ou imposée dans la famille, et sonne un air de rébellion ! Une histoire vieille comme le monde, un récit déjanté sur fond de langue décapante, un pied de nez jubilatoire à nos imageries traditionnelles.
Quel enfant n’a jamais redouté d’être abandonné par ses parents ? Et qui n’a pas rêvé de les abandonner à son tour, par vengeance, par dépit, par envie d’en finir avec l’enfance ?
Jauge tout public : 300 / Jauge scolaire : 230
Plateau : ouverture mini 10m / profondeur mini 7m / hauteur sous perche mini 5,50m
Écriture Annabelle Sergent & Vincent Loiseau
Conception et interpétation : Annabelle Sergent
(en alternance) Christophe Gravouil
Collaboration mise en scène Anne Marcel
Création lumière Patrick Touzard
Création sonore Oolithe
Costume Michèle Amet
Production : Compagnie LOBA
Coproductions et accueils en résidence : Association Nova Villa, Reims (51) / Le Quai, Angers (49) / Le Jardin de Verre, Cholet (49) / Le THV, St Barthélemy d’Anjou (49) / Association Ah ?, Parthenay (79) / Scènes de Pays dans les Mauges, Beaupréau (49)
Avec le soutien de l’Office National de Diffusion Artistique, Paris / La DRAC Pays de la Loire / Le Conseil Régional des Pays de la Loire / Le Département de Maine et Loire / La Ville d’Angers
Partenaires en préachats : Village en Scène, Thouarcé (49) / Le Grand T, Nantes (44) / La Péniche Spectacle, Rennes (35) / FAL 53 – Spectacles en Chemin, Laval (53) / La Montagne Magique, Bruxelles / L’Archipel, Fouesnant (29) / Centre Culturel de la Gobinière, Orvault (44) / Le Vieux Couvent, Muzillac (56)
Un thriller cartoonesque qui déclenche chez les enfants un véritable effet cathartique. Il faut les voir vivre totalement l’action !
Dominique Duthuit – France Inter
Seule en scène, avec de superbes lumières pour seul décor, pendant près d’une heure, elle défend avec une incroyable énergie son texte. Écrit avec Vincent Loiseau, ce récit original emmène très loin un public séduit, enthousiaste […]. Annabelle Sergent a su trouver le ton juste.
Cyrille Planson – La Scène
Annabelle Sergent insuffle vie dans le récit, capte l’attention en se permettant de folles digressions, actualise le propos sans trahir son esprit. Avec l’énergie de la des-histoire, la truculence des manieuses de langue (et, ici l’artiste Kwal y a mis son grain de plume) et la malice généreuse des grands qui savent parler aux petits, Annabelle Sergent aborde des sujets sérieux en toute légèreté. La fratrie et l’émancipation sont au cœur de ce nouveau chapitre, deuxième d’un triptyque sur le détournement des contes. Incontournable !
Gwenn Froger – Ouest France (2011)